Les Français sont de plus en plus nombreux à s’informer sur internet pour des achats qu’ils effectueront en ligne mais également en ville. Les détaillants se doivent donc d’être présents sur le web. Mais comment ?

L’idéal est de disposer d’un site marchand, qui va permettre à la fois de réaliser des ventes et de créer du flux vers la boutique physique, avec plus d’efficacité qu’un « site vitrine » ou qu’un blog. Mais cela requiert du temps et de l’argent. Heureusement il est possible de se faire connaître à moindre frais via plusieurs types de sites.

1) Des sites pour présenter une boutique
Il s’agit d’annuaires généralistes (Pagesjaunes, Qype…), spécialisés (Pagesmodes…) ou locaux (Toulouseweb…), de city-guides (Cityvox, Dismoiou.fr), qui permettent aux internautes de donner leur avis sur les boutiques, sans oublier les réseaux sociaux, notamment Facebook.
Avantages : l’inscription est le plus souvent gratuite.
Inconvénients : difficile d’émerger parmi toutes les autres boutiques.

2) Des sites pour présenter ses produits
Des plateformes proposent aux commerçants de présenter sur ordinateur ou sur smartphone des articles avec une géolocalisation. Elles s’appellent Sentinelo, SoCloz ou Asoonis.
Avantages : ce sont de vraies vitrines (un produit, un prix, éventuellement une promotion).
Inconvénients : le nombre d’utilisateurs est encore restreint.

3) Des sites pour « vendre »
L’objectif, c’est de faire parler de soi au travers d’une vente, à prix promotionnel (Groupon, Bonplangratos…) ou normal (Ebay, lesambassadrices…), car les sites concernés prennent une commission !
Avantages : c’est gratuit (vous consentez juste une réduction sur votre marge).
Inconvénients : difficile de fidéliser ensuite, car les clients sont souvent des « chasseurs de bons plans ».