FREEPRY, le sur-mesure de la seconde main en multimarques

Conçue pour les boutiques de mode, Freepry représente une solution simple et adaptable qui facilite la vie des commerçants pour faire de la seconde main – marché en plein essor – une alliée dans la progression de leur offre et de leur clientèle.

Violette et moi
Le concept Freepry permet d’attirer une nouvelle clientèle dans la boutique Violette et moi, notamment grâce au bon d’achat.

Forte aujourd’hui de 250 boutiques abonnées telles que Printemps, Petit Bateau ou Citadium, la start-up a été lancée en 2020 par une équipe de 4 amis passionnés de mode seconde main. Nos vêtements dorment dans nos armoires, soit 2,1 trillions pouvant potentiellement être revendus selon Business of Fashion, et les plateformes de seconde main n’en réceptionnent que 5 à 7% à l’heure actuelle. La seconde main est la vague sur laquelle il sera important de surfer dans les prochaines années, « une des solutions pour permettre aux commerçants d’avoir moins de stock, moins de sorties de trésorerie et quand même faire venir des clients en boutique », argumente Paul, co-fondateur et directeur commercial et marketing de Freepry. L’objectif des 4 entrepreneurs : développer un logiciel clé en main qui permet aux boutiques d’oser « se lancer sur un marché au mécanisme différent de la vente classique ». De l’outil de pricing Argus à l’édition automatique de bons d’achats, en passant par la gestion des stocks et des datas ou le rachat des invendus, Freepry propose une solution globale, “positivante” pour les détaillants. « Le concept de Freepry permet d’attirer une clientèle qui hésite entre nous et notre concurrent, car elle peut toucher un bon d’achat derrière, le tout avec une vraie facilité d’utilisation », résument Hélène et Eric qui ont un corner dépôt-vente dans 3 de leurs 4 boutiques Violette et moi.

A la carte et sans stock

3 configurations sont aujourd’hui en place pour répondre aux différents profils d’attentes des boutiques : la 1ère, un corner seconde main en dépôt vente ou en achat revente. La seconde, une plateforme personnalisée pour les boutiques qui ont une communauté, mettant en relation vendeurs et acheteurs suivi d’essayage et achat au point de vente physique, « mes clients se rencontrent autour d’un cadre et des valeurs qu’ils connaissent ! », souligne Justine de Slowmod. Et enfin, la 3ème, sans corner seconde main, pour proposer un service de collecte, les pièces étant rachetées par des partenaires Freepry qui sont des plateformes de revente en ligne, pour « faire venir du monde sans que j’aie à m’occuper de la revente ! », se félicite Laura, de Mila Home.

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Par ailleurs, la start-up reste à l’écoute pour parer à toute situation : « la promesse de Freepry est aussi d’associer les configurations entre elles. Par exemple, la configuration 1 associée à la 3 : donner la chance aux produits d’être vendus sur place, et s’ils ne le sont pas au bout d’1 ou 2 mois, nos partenaires achètent les produits. Ou bien relier 2 et 3 : si des produits vus n’ont pas été achetés, ils peuvent être disponibles à nouveau à la vente sur la plateforme, ou bien nos partenaires peuvent les racheter », explique Paul (Freepry). Une flexibilité qui participe ainsi à une remise en circulation des invendus, les produits seconde main ne s’endorment jamais : « 80% des produits déposés sont vendus en 2 semaines et globalement, il y a à peu près 90% des produits qui sont vendus. »

Javotine
Chez Javotine, « les clientes sont ravies de pouvoir profiter d’un bon sur leurs nouveaux achats ».

Un bon d’achat et du trafic

Au cœur de la solution Freepry, le bon d’achat, qui selon la configuration et le parcours client, est édité soit directement au dépôt du produit et le consommateur s’en sert directement, soit après la vente du produit sur place. « Il y a un rappel automatique par mail, 100% des bons d’achat sont réutilisés sur le neuf et/ou la seconde main selon le choix du commerçant. La grande majorité sont utilisés sur l’offre neuve mais chaque rachat en seconde main édite un nouveau bon d’achat, créant un cercle vertueux ».  L’outil de cotation ARGUS du logiciel « permet de légitimer le prix de revente auprès des acheteuses ! Un vrai gain de temps ! Je n’achète rien et mon chiffre d’affaires augmente !», s’enthousiasme Annie, de Louyse la rebelle. Autre atout majeur, le coefficient multiplicateur de 2.5 à 3 : « Les consommateurs consomment plus que la valeur du bon d’achat. Nos clients font à peu près 1500€ de chiffre d’affaires mensuel sur la seconde main. Et ces bons d’achat génèrent en moyenne entre 2 000 € et 3 000 € de chiffre d’affaires par mois », explique Paul.

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Chaque produit seconde main génère 3 visites : « La première visite, celle du déposant du produit. La seconde, par un autre client à l’achat du produit seconde main. Enfin, via le logiciel un bon d’achat est envoyé par mail pour le déposant qui revient ensuite avec celui-ci en boutique, et qui engendre donc une troisième visite. » Un mécanisme qui aide à augmenter sa base clients et à l’élargir à de nouvelles personnes : celles qui n’entraient pas, franchissent le pas pour la seconde main, sont converties en acheteuses donc en clientes, les bons d’achat incitent à passer à d’autres marques, à oser d’autres pièces… Quand l’objectif de fidélisation de la clientèle s’ajoute à la nécessité de la renouveler, la solution Freepry est ainsi une belle opportunité pour optimiser les ventes et générer plus de trafic en boutique. « Nos clientes sont ravies de pouvoir profiter d’un bon sur leurs nouveaux achats et de nouvelles clientes rentrent en boutique. Tout le monde y trouve son compte !», conclut Laura de Javotine.

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Service Boutique2Mode entreprise pour Freepry.