Les services en boutique ne sont pas au cœur des préoccupations de nombreux commerçants. Pourtant, lorsqu’ils répondent à un véritable besoin du client, ils permettent de vendre plus et mieux.
Entre les deux extrémités d’un marché polarisé, les multimarques indépendants peuvent trouver une juste place en s’appuyant sur une offre qualitative, à des prix réalistes, basée sur leur compétence.
En maroquinerie aussi, la tâche se corse pour les détaillants. Mais au milieu d’une concurrence aussi féroce que multiple, ils peuvent encore exister avec des atouts assortis à de bons choix stratégiques. Tour d’horizon des leviers d’action.
Ouvrir une deuxième boutique est le symbole d’une réussite, l’occasion de donner une nouvelle impulsion à sa carrière. La crise ne doit pas freiner ceux qui veulent se lancer, mais une bonne préparation s’impose car de une à deux boutiques, il y a un monde.
Une étude s’est intéressée aux déterminantes qui incitent les femmes à toujours se déplacer en boutique, malgré le boom du e-commerce. Verdict.
Alors que la mode de masse et le luxe prennent de plus en plus de place sur le marché et dans les habitudes de consommation, l’espace laissé pour les détaillants se réduit dangereusement.
Si le merchandising est l’une des bases du métier, il n’en reste pas moins que le savoir-être est un atout primordial pour ne pas recourir aux rabais. Enquête sur les méthodes des détaillants.
En ces temps difficiles où le luxe et la qualité sont devenus des valeurs refuges, la montée en gamme semble être une solution pour générer plus de chiffre d’affaires et de marges bénéficiaires.
Si elles sont vraiment inéluctables, comment les rendre compatibles avec les contraintes et l’esprit du commerce traditionnel ? Éléments de réponses à une question qui divise.
Le marché de la seconde main est en plein boom. Une opportunité à saisir pour les détaillants, à condition de bien comprendre son fonctionnement. Décryptage des bonnes pratiques et mode d’emploi.